La météo Cadou,

par Jean-Joseph Julaud

 



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Chaque poète porte en lui un univers qu’il nous laisse en héritage. Un univers de mots et d’images, tout un peuple de passantes et de passants sereins ou tourmentés, qui peuplent des paysages en esquisse, comme une pensée.

Et puis, dominant tout cela, les ciels, les vents, les ouragans, le jeu troublant des nuages avec leur cortège de paréidolies (1), bref, le temps qu’il fait au fil des vers et dans les strophes, ce dont jamais ou presque on n’est conscient, lisant telle ou tel, parfois surpris de quelque traîne morose laissée par un sonnet, par une mélancolie tenace.

Quel temps fait-il dans l’œuvre de Verlaine ?
« Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville… »(2)
Verlaine, ce sont, entre autres, des averses de larmes, de regrets et de douces fureurs dans la grisaille des plaines traversées avec son compagnon de bamboche, son frère en ribote : Rimbaud !
Quel temps chez Rimbaud ? Un temps d’enfer en toute saison !
Quel temps chez Hugo dans le clair-obscur, dans le soir charmant, dans l’ombre qui déploie ses voiles ? Hugo toujours conjugue tout, et tous les temps !

Chaque poète à travers les images et les mots s’assure, en filigrane, une météo fidèle, un ciel qu’on identifie au moindre alexandrin :  

« Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis
Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux »…(3)

Voilà, c’était Baudelaire, reconnaissable entre tous… La pluie, nous dit-il, une prison ?

Et maintenant, écoutons :

Odeur des pluies de mon enfance
Derniers soleils de la saison !
A sept ans comme il faisait bon
Après d'ennuyeuses vacances,
Se retrouver dans sa maison !

La vieille classe de mon père,
Pleine de guêpes écrasées,
Sentait l'encre, le bois, la craie
Et ces merveilleuses poussières
Amassées par tout un été́.

O temps charmant des brumes douces,
Des gibiers, des longs vols d'oiseaux,
Le vent souffle sous le préau,
Mais je tiens entre paume et pouce
Une rouge pomme à couteau. (4)

 Météo Cadou ! Comme il fait bon chez René Guy ! On se laisse environner par le pétrichor (5) de ce début d’automne, les brumes sont douces, le rouge de la pomme invite à croquer la vie !

Météo Cadou ! À quels ciels, à quelles saisons donne-t-il sa préférence ? Quels liens mystérieux établit-il entre les mots pour créer cette tendresse intense et aveugle qui nous lie à ce qui nous entoure après l’avoir lu, et pour toujours ? Par quelle magie, quel sortilège nous ravit-il à la pesanteur ordinaire pour nous installer dans ce monde où les villes sont légères, la « campagne bleue » (6), les « relais si reposants dans l'ordre de la Terre»,(7) « le toit secoué par la lumière »,« la faux du clocher éparpille les ailes » (8), où les marais se déchiffrent comme d’étranges solfèges ?

C’est une gageure d’approcher le mystère Cadou, c’est un danger peut-être d’en entrouvrir les portes. Le mystère Cadou demeure entier. En être pénétré demeure un privilège, cela vous change l’âme et le corps, et vous réserve l’abri sûr lorsque les mots des autres se laissent piéger dans des tornades ordinaires. Les mots de Cadou, sa météo sereine, se font thébaïde heureuse, et voilà qu’il nous dit :

« Rien ne sert de partir Il faut vivre
Être là
Au bord du feu-berger qui ramène les doigts
Dans la main du soleil où bourdonne midi
À la pointe du cœur où glisse le souci

Sous le chaud de l’averse
Quand le corps se raidit
Quand le jour se renverse
Quand la dernière lampe éparpille la nuit

On recoupe un visage
En quel état je suis
Ces paumes défleuries
Roseaux de mon courage
Et le mur à lui seul est tout un paysage »(9)

Quinze lignes, quinze jours ou quinze ans de courage, et bien davantage, pour qui laisse entrer en soi ces alliances inattendues au début de Morte-Saison.

Cadou a vingt ans.

Pour lui, le soleil est une main qui secourt, l’averse est chaude, la frontière du mur devient un paysage de plénitude qu’on aime, nous, lecteurs, regarder comme un parent lointain du petit mur jaune de Bergotte.(10)

Alors, envahi par la présence intemporelle de celui qu’à l’entrée du printemps 1951, le père Agaësse, de l’abbaye de Solesmes, salua ainsi dans le silence de la petite chambre hélas enfin située(11): « Je viens saluer un prince » (12), on se dit que le temps est venu de vivre dans le parage de ses mains(11), maîtresses du ciel et des saisons, de l’aube et des matins, des soirs et de la nuit. On devient familier de ses mots, de sa météo, et on scrute le ciel.

Le ciel de Cadou ! Facile à trouver ! Presque un ciel à chaque page. Tel celui du Chant de solitude, dans Les Biens de ce monde, en 1949 :

Voici que je dépose ma lyre comme une échelle à poule contre le ciel
Et que des paysans viennent voir ce miracle
D’un homme qui grimpe après les voyelles…(13)

Par ces voyelles, ces consonnes, le ciel est doublement le pays des lettres et le paradis de la poésie.

L’humble échelle à poules - si commune dans les poulaillers d’antan, élément dépourvu de son utilité ordinaire puisqu’ici, il sert seulement de perchoir – l’échelle à poules devient une lyre, l’instrument qu’Apollon, le dieu de la poésie, de la beauté, offre à Orphée, ce héros poète et prophète au langage lumineux.

Le ciel réel, le ciel mythique, l’univers mythologique et le ciel poétique se superposent, s’emparent de l’espace et lui donnent une extension telle qu’on perçoit tout cela à la fois.

Et le monde se démultiplie comme dans ces palais des glaces où se créent de vertigineuses perspectives, et l’illusion de parcourir les couloirs de l’infini.

À Lesbos où Orphée trouve enfin une sépulture, sa lyre est emportée au ciel par les muses, et devient la constellation que nous connaissons.

Cadou ajoute à cette ascension renouvelée le cortège des braves gens qui vivent l’instant magique du miracle. La foi est capable de déplacer des montagnes, mais elle transforme aussi les échelles à poules en lyres qui conduisent au ciel toujours serein, celui de la création poétique.

Dix ans plus tôt, Cadou nous offre un ciel anthropomorphe, un ciel qui rit, un ciel joyeux.
Ou plutôt, il superpose le ciel, au premier degré, puis un ciel qui perçoit les sons, un ciel parent de l’humain, ou de l’animal, un ciel vivant.
Et ce ciel vivant s’endimanche doublement, les hommes dorment, sans doute dans la quiétude d’un après-midi, et voici que ce ciel se peuple de cloches qui sonnent à toute volée.

De l’humain, il devient la gorge d’où fuse le rire. « On entend le ciel rire à cloches déployées »

Voilà peut-être, à travers cette météo par les mots, une infime partie du mystère Cadou qui apparaît ici : un mot dans le vers cadoucéen ne voyage jamais seul !

Il clôt et ouvre dans le même temps, une verticalité de sémantismes où l’esprit du lecteur opère un choix qui éloigne de l’ordinaire le mot lui-même ; et ce choix l’associe dans l’instant à l’image qui suit, choisie elle aussi dans l’éventail inattendu des significations possibles.

Et tout cela ricoche comme la pierre qui défie l’eau et persuade celui qui contemple son vol éphémère qu’elle s’est affranchie de toute pesanteur, et qu’elle dansera sur la vague jusqu’à la fin des temps.

La terre s’est retirée
Dimanche
Tous les hommes sont couchés
Au-dessus des mêlées

On entend le ciel rire
À cloches déployées
On entend les oiseaux qui ont sauté le mur (14)

De nouveau le ciel dans cet extrait de Morte-saison, le recueil des vingt ans de Cadou :

Les mots s’envolent
Il y a des baisers coulés dans les paroles
Des larmes sur la main
Un grand ciel de printemps au fond du lendemain
Un grand soleil
La nuit mon cœur qui bat trop fort
Et me réveille
Les ailes des oiseaux sur la gorge du vent
Tous ces matins perdus
Ces haines à renaître
Et ceux qui ne voudront jamais me reconnaître (15).

Ici, le ciel a pris pour refuge le jour qui vient :

« Un grand ciel de printemps au fond du lendemain ».

Ce lendemain s’infléchit vers le dessin d’une sorte de demeure, d’une halte heureuse dans le cours du temps, une thébaïde de renaissance, peut-être encore empreinte du souffle de Perséphone, et de l’espoir intemporel de l’éclosion.

Curieusement, ou logiquement plutôt, chaque recueil - du premier en 1937 au dernier en 1951 - porte en ses premiers vers, en son premier poème, en son début, un ciel qui donne aux mots qui l’entourent des désirs d’infini, un ciel toujours clair qui s’affranchit des nuages si peu présents au fil des pages – on n’en compte que cinq occurrences dans l’œuvre entière, et la première apparaît dans Bruits du cœur, en 1941, premier nuage à 21 ans :

Des nuages sont tirés le long du boulevard
Un homme fait sa ronde
On entend une cloche à l’autre bout du monde
Et la main-jeune-fille qui froisse les lauriers (16)

Dans le mot « nuage » lui-même se superposent les images de limites mystérieuses et vaporeuses, à moins qu’on y devine se dessinant des maisons éphémères, affranchies de toute durée, et qui s’évanouissent à la fin du vers qui les contient.

Dans Grand élan, en 1943, autre nuage, consolateur celui-là :

Un arbre cherche au fond des nuages sa caresse. (17)

En voici un troisième saisi dans l’audacieuse fusion entre un contour, un contenu ferme, résistant comme une pomme inaltérable, et l’éphémère densité d’un brouillard aérien où s’engouffrent toutes les paréidolies.

« Les joncs seront courbés sous le pommeau des nuages
L’aile noire d’un fouet coupera le village
Mais en voyant tes yeux je m’y reconnaîtrai » (18)

On le constate, les mots, dans la poésie de Cadou, ne voyagent jamais seuls, ils accompagnent les autres bien sûr, mais s’accompagnent eux-mêmes de leurs propres miroirs, de leur silhouette esquissée dans d’autres paysages.

Ils surgissent d’une sorte d’ubiquité multipliée à l’infini, comme une éternité domptée, qui consent à laisser dans le poème sa trace et son mystère.

Ainsi, que ce soit par le ciel ou par les nuages, par la rosée, par la tempête, par le cyclone ou par l’ondée - tous vocables de passage au fil de ses vers - les mots de Cadou nous élèvent, nous descellent de ces mortiers pesants coulés dans le réel et qui nous font prendre chaque terme pour une fin alors que tout, dans le langage cadoucéen, n’est que départ, préparatifs à l’aventure, vertiges sans déroute, épiphanies, échelles de Jacob qui donnent accès à un autre temps, et, pour revenir au thème choisi, une autre météo, d’autres hivers :

La route en hiver était belle !
Et vivre je le désirais
Comme un enfant qui veut danser
Sur l’étang au miroir trop mince (19)

Une météo qui installe le lecteur au cœur d’un tourment, d’un tapage à travers l’un des vingt orages présents au fil des poèmes :

Jamais plus tu n’iras dans les havres déserts
Ni dans les bleus chantiers que dressent les orages (20)

Une météo comme une porte ouverte sur l’une des treize aurores, celle-ci peuplée d’oiseaux qui volent vers le lieu sacré de la naissance, lieu d’insouciance où apparaît le tendre osier de la Brière :

Il allait découvrant la candeur végétale
Et la palpitation confuse des ramiers 
Emportant pour l’hiver les aurores natales
Dans ses yeux
Entre ses lèvres un brin d’osier (21)

Une météo vers d’autres pluies, celles d’un autre univers :

« Rien n’est sûr si ce n’est le sommeil passager
L’étonnante moiteur de la ronce et des pierres 
Et sur ma joue la pluie battante des paupières
Mon cœur allant bon train ce vogueur hauturier » (21)

Qu’est-ce donc que cette Image de la pluie, image du regard, des larmes peut-être ? Averse drue, crépitement, et battement des paupières, et ce visage et cette joue…

Déjà, plus de cent images se pressent comme tout un livre, et l’on se sent comme ivre à chaque pas vaillant avec Cadou, flânant avec lui de conserve, longeant les lisières de sa raison afin que la nôtre se dépouille de ses carcans.

Afin qu’elle comprenne, par exemple, qu’il existe par les mots, une autre planète, identique à la nôtre où des prodiges naissent d’une plume vagabonde en un lieu où l’on « jaillit du sol comme une tulipe », insoucieux des « palabres aux Deux-Magots ou bien au Lipp », où l’on « monte dans la chambre et prépare les feux », où l’on « appareille tout seul vers la face rayonnante de Dieu »(22) :

« Je t’attendais et tous les quais toutes les routes
Ont retenti du pas brûlant qui s’en allait
Vers toi que je portais déjà sur mes épaules
Comme une douce pluie qui ne sèche jamais »(23)

Oui, cette planète existe, puisque Cadou nous l’offre, puisque le prodige inouï d’une « douce pluie qui ne sèche jamais » y trouve sa place comme ces bienveillantes chimères, ces samaritaines consolatrices qui secourent l’égaré dans les méandres de la nuit et le reconduisent dans son rêve.

Outre le ciel, la météo Cadou, c’est aussi le « jour » et le « soleil », présents eux aussi à chaque page ou presque.

Dans le poème inaugural de Brancardiers de l’aube, tout premier recueil publié en 1937 - Cadou a dix-sept ans – les trois premiers vers portent en creux et en clair ces deux piliers de son programme : le jour et le soleil

Ils sont venus au jour prédit par le prophète,
Dans leur gangue de l’enfance.
Les soleils matinaux dévissaient les serrures (24) 

Ciel, jour, soleil, pluie, tempête et nuée, gel et rosée

Tout cela s’organise en fin tressage du temps qui passe, afin d’y loger l’or des belles rencontres, la présence des bonnes gens, des bons, des vrais amis reçus à la table, « il en vient chaque jour de nouvelles étables » (25); afin d’y voir passer « le diable et son train »(26), d’y apprendre « la langue des muets »(27) entre Louisfert et Saint-Aubin où coule un ruisseau qu’on nomme Le Néant.

Mais jamais ne surgiront, jamais on ne lira, dans quelque page que ce soit, la violence de la foudre, celle de l’ouragan, celle du typhon ; jamais non plus la bruine au syllabes laborieuses, le crachin si peu mélodieux, ou la giboulée à l’étymologie obscure.

Pour terminer, tentons de dresser pour la vie qui vient, les jours qui passent et l’espoir tenace que seule la poésie peut désarmer les enragés, que seule la poésie ne poste jamais de sentinelles à ses frontières puisqu’elle en est dépourvue, tentons de dresser un bulletin météo où l’étincelante et tendre lumière Cadou fera de chaque instant la clochette d’argent qui tinte dans les liens de la terre, et sortira chacun de « l’ouate des mensonges »(29) :

Demain, si c’était l’automne, que prévoyez-vous, René Guy Cadou ?

« Automne tu me viens dans ces vols d’hirondelles
Plus chargés de secrets que les isolateurs
Où battait l’inquiétude étroite de leurs ailes
Et qui dérangent les espaces de mon cœur »(29)

Le vent soufflera-t-il, poète, et de quelle façon ?

« Qu’importe le nom des vivants
Et l’oiseau bleu ou les menaces
J’ai là au fond de ma besace 
Le doigt bénévole du vent. »(30)

Et pour les siècles qui viennent, René Guy, un peu de neige au pays ?

« Si la neige du temps demeurait sur la terre
Comme un garçon trop grand qui ne fait point exprès
D’être pâle et d’avoir dans le fond de ses poches
Une main que le vide des journées effraie
On aimerait au moins une fois dans sa vie
Retrouver sur la route à force de blancheur
La trace aventurée la démarche conquise
D’un printemps de soi-même étouffé dans son cœur

Je marcherais longtemps dans les rues de village
Dévorant à pas lents mes jours comme un viveur
Retrouve après vingt ans la soupe de famille
Dans un logis qui sent l’étable et la grandeur
Peut-être gravissant les paliers de la neige
Jusqu’au faîte invisible et proche du chagrin
En un matin de bonne chance trouverais-je
La première étincelle blanche du destin
Mais le soleil qui brasse au-dessus des tonnerres
Le froment noir le sel amer et l’illusion
Éteint la neige à la surface de la terre
Qui meurt comme un été de ses constellations » (31)

Et pour Cadou, pour vous seul et pour nous, René Guy Cadou, dites-nous, quel temps il fera dans nos temps que voici, dans ce jour que voilà, en ce 1er avril, ce vendredi, entre hier et bientôt, quelle serait votre météo ?

« Refermez les forêts sur moi c’est merveilleux
Cet astre qui ressemble tant à mon visage
Un jour vous écrirez mon nom en pleine page
D’un vol très simple et doux
Et vous direz alors c’est René Guy Cadou
Qui monte au ciel avec pour unique équipage
La caille la perdrix et le canard sauvage. »(32)

 


 

Notes :

(1)La tendance naturelle qu’a le cerveau humain de percevoir dans les manifestations de la nature des visages ou des personnages imaginés est un bon exemple de paréidolie.
(2)Paul Verlaine, Romances sans paroles (1874).
(3)Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, Spleen LXXVIII.
(4)PVE, Les Amis d’enfance, Automne, page 358.
(5)Le pétrichor est un liquide huileux sécrété par certaines plantes, puis absorbé par les sols et roches argileux pendant les périodes sèches.
(6)PVE, Le Cœur définitif, Louisfert, page 228.
(7)PVE, Les Biens de ce monde, Nocturne, page 345.
(8)PVE, Comme un enfant perdu, La Vie rêvée, page 122.
(9)PVE, Partie perdue, Morte saison, page 44.
(10)Bergotte est un personnage du roman de Marcel Proust À la recherche du temps perdu.
(11)PVE, Aller simple, Le Diable et son train, page 285.
(12)Cité par Michel Manoll dans le Seghers N°41 René Guy Cadou, poètes d’aujourd’hui.
(13)PVE, page 336.
(14)PVE, Joie courte, Années-lumière, page 35.
(15)PVE, Saisons du cœur, Morte saison, page 41.
(16)PVE, Sans le masque, Bruits du cœur, page 63.
(17)PVE, Job, La vie rêvée, page 100.
(18)PVE, Comme un Enfant perdu, La Vie rêvée, page 122.
(19)PVE, Moineaux de l’an 1920, Hélène ou le Règne végétal, page 318.
(20)PVE, Dernier Signe à Levanti, Bruits du cœur, page 68.
(21)PVE, L’Enfant du silence, Le Cœur définitif, page 191.
(22) idem (19).
(23)PVE, Je t’attendais, Quatre poèmes d’amour à Hélène, page 279.
(24)PVE, Ils sont venus…, Brancardiers de l’aube, page 15.
(25)PVE, La Fleur rouge, Hélène ou le Règne végétal, page 253.
(26)PVE, Le Diable et son train, idem, page 297.
(27)PVE, Avec la Langue des muets, idem, page 286.
(28)PVE, Avant sommeil, Bruits du cœur, page 62.
(29)PVE, Comme un cri long de paysan, Le Cœur définitif, page 232.
(30)PVE, Ecoute aux meules du couvent…, Forges du vent, page 23.
(31)PVE, Si la neige du temps…, Le Diable et son train, page 287.
(32)PVE, Refuge pour les oiseaux, Hélène ou le Règne végétal, page 272.